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Monday, October 7, 2013

année, Google étend son programme aux éditeurs français14. Dans un communiqué de presse, l'entreprise affirme qu'elle « respecte les droits d’auteur et collabore avec les éditeurs pour garantir la protection de leurs ouvrages », notamment en bloquant les fonctions « imprimer », « couper », « copier » et « enregistrer » sur les pages affichant le contenu des livres. Les éditeurs choisissent d'eux-m

revues, ses scans n'incluent pas les métadonnées suffisantes pour trouver les articles traitant de sujets spécifiques. Les créateurs de Scholar ont donc développé leur propre programme de numérisation des articles (en accord avec les éditeurs)11.
2005 : Google Book Search[modifier | modifier le code]
En novembre 2005, Google change le nom de son service et opte pour « Google Book Search »12. Le choix est justifié par caractère plus explicite du nouveau nom, et par une légère évolution de la mission attribuée au service : « quand nous avons lancé Google Print, explique Google, notre but était de rendre facile pour les utilisateurs de découvrir des livres. Maintenant que nous commençons à atteindre ce but, nous cherchions un nom qui nous aide à clarifier ce que nos utilisateurs peuvent faire avec : à savoir, chercher dans le texte complet des livres pour trouver ceux qui les intéressent et découvrir où les acheter ou les emprunter ». Dans les faits, le programme permet désormais aux éditeurs et aux auteurs d'inclure leurs livres dans le service à travers le « Google Books Partner Program »13. Les partenariats avec les bibliothèques se font quant à eux sous le nom de Google Books Library Project (en).
En septembre de la même année, Google étend son programme aux éditeurs français14. Dans un communiqué de presse, l'entreprise affirme qu'elle « respecte les droits d’auteur et collabore avec les éditeurs pour garantir la protection de leurs ouvrages », notamment en bloquant les fonctions « imprimer », « couper », « copier » et « enregistrer » sur les pages affichant le contenu des livres. Les éditeurs choisissent d'eux-mêmes les parties consultables par les utilisateurs (qui peuvent varier entre 20 et 100 %) et gèrent leur contenu, suivent leurs revenus publicitaires et prennent connaissance de leurs performances via leur compte Google Print, sans frais additionnels. Pour les livres entrant dans l’index via le programme Bibliothèques et pour lesquels des droits d’auteurs sont encore applicables, seuls trois courts extraits contenant quelques citations sont disponibles. Google annonce enfin : « Nous numérisons actuellement les ouvrages libres de droits des bibliothèques partenaires et, à partir du 1er novembre, l’ensemble des collections de ces bibliothèques. »
En octobre, le service se décline en plusieurs versions locales pour l'Europe : sont concernées la France, l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, l'Espagne, la Hollande et l'Italie15.
2005 est aussi marquée par le début d'une poursuite en justice de Google Books par un groupement d'éditeurs et auteurs américains (voir : « Actions en justice »).
2006 : Partenariats[modifier | modifier le code]
Plusieurs partenariats avec des universités sont annoncés :
En août avec la University of California System (pour 34 millions de volumes parmi les 100 bibliothèques qu'elle gère)16,
En septembre avec l'Université complutense de Madrid (première bibliothèque en langue espagnole à rejoindre le programme)17,
En octobre avec l'Université du Wisconsin-Madison ainsi que la Wisconsin Historical Society Library (ensemble 7,2 million d'ouvrages)18.

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