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Friday, January 10, 2014

res34. Enfin, en janvier l'équipe derri

ous les cas de figure : la numérisation est opérée par Google sans frais pour la bibliothèque concernée, puis une copie est remise à cette dernière. Enfin l'ouvrage est mis à la disposition du public, par accès payant ou gratuit selon le droit d'auteur applicable, et intégré au système de recherche interne à la bibliothèque.
En parallèle, de nouvelles fonctionnalités sont ajoutées au service, dont l'interface est revue (notamment la page d'accueil, qui offre des conseils de lecture) :
À partir de septembre 2007, il est possible pour les utilisateurs de partager des fragments de livres (snippets), qui apparaissent soit sous la forme d'une image scannée soit en plein texte31.
Le même mois, une fonctionnalité baptisée My library (« ma bibliothèque ») est lancée32, qui permet aux utilisateurs de créer leurs bibliothèques personnalisées en faisant une sélection de livres qu'ils peuvent étiqueter, critiquer, noter, et au sein desquels ils peuvent effectuer des recherches.
Une fonctionnalité intitulée « Places in this Book » permet de trouver des livres à partir des noms de lieux mentionnés dans le corps du texte (plus tard, une fonction inverse est implantée dans Google Earth : l'utilisateur saisit un lieu, et trouve des liens qui s'y réfèrent)33.
« Popular Passages » permet de retrouver la mention d'un morceau de phrase ou d'une phrase entière à travers une collection de livres34.
Enfin, en janvier l'équipe derrière Books ouvre un blog dédié aux relations publiques avec les bibliothécaires35, pour diffuser le contenu de sa newsletter (alors suivie par plus de 30 000 personnes), des vidéos, des articles, et répondre aux questions autour du service.
En février 2007, au cours d'un événement organisé par l'American Association for the Advancement of Science, Larry Page explique dans une interview36que le développement du projet Google Books s'inscrit dans la perspective plus large de la construction d'une intelligence artificielle par Google, et souligne les difficultés rencontrées par le groupe dans son entreprise de numérisation à grande échelle :
« I'll give you another quick example; Google Books. We actually wanted to digitise Stanford's library and there's actually a digital library project there and we tried to convince people and they just didn't think it was really possible or made sense, and actually we spent probably five years trying to convince people that it was possible and a good idea. Once we convinced maybe two or three crazy people, it's basically happening. We just made a one million… we're going to digitise another million books in Princeton and it's sort of routine now which is a great thing, but it shows you how hard it is to get people going on things that they think maybe aren't that possible. »
2008 : Premier partenariat en France[modifier | modifier le code]
Février : l'Université du Michigan fête son millionième livre numérisé37.
Mai : Microsoft réduit la voilure de son projet de numérisation, qui donne alors accès à 750 000 livres et 80 millions d'articles de journaux, et prévoit d'y mettre un terme38. Le 10 mai, Google signe une entente avec le Online Computer Library Center (OC

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